Espace de partage de nouvelles, ce blog vous fournit l'essentiel de l'information sur l'actualité nationale et internationale. Animé par son auteur, Marie-Noëlle Guichi, journaliste de la génération intermédiaire, avec 16 ans d'expérience professionnelle, ce site a l'ambition de vous offrir un contenu dynamique et toujours plus fouillé. Bonne lecture et au plaisir de nos échanges collaboratifs!
Intervenant
dans un panel modéré par la journaliste Burkinabé Multi Award, Ramata Soré,
l’économiste Thérèse Azeng, enseignant-chercheur à l’Université de Yaoundé II à
Soa, et Grégoire Ndjaka, conseiller No1 à la CRTV et membre l’Union Africaine
de radio diffusion, ont entretenu les journalistes, le 10 décembre dernier à Yaoundé,
sur l’Afrique d’hier. suivre leurs regards introspectifs.
Ramata Soré
Pour
Ramata Soré, « pour savoir où on va, il faut rentrer dans son passé
pour voir d’où on vient ; afin de mieux appréhender le présent et
envisager l’avenir ».
L’économiste
Thérèse Azeng a ainsi fait remarquer que, malgré la pertinence des programmes
de développement nés en Afrique et portés par l’Organisation panafricaine, tels
que le plan d’action de Lagos, le Traité d’Abuja ou même le NEPAD récemment,
les bailleurs de fonds les ont souvent mis de côté, pour imposer leurs propres
programmes de développement au continent. Elle cite ici les programmes
d’ajustement structurel, l’initiative Pays pauvres très endettés (PPTE) etc.
Thérèse Azeng
Et Thérèse Azeng de conclure que, les bailleurs imposent leur vision à l’Afrique parce qu’ils sont
ses principaux financiers. Ce qui risque d’être pareil avec l’Agenda 2063, si
l’Afrique ne se dote pas de moyens autonomes, afin d’être désormais initiatrice
et conductrice de ses propres programmes et modèles de développement, en lieu
et place de ceux là qui sont conçus ailleurs, sans nécessairement tenir compte des
réalités africaines.
Grégoire
Ndjaka observera pour sa part que l’information des bénéficiaires des
programmes a souvent été négligée.
Grégoire Ndjaka
Pour lui, ce sont les médias qui doivent
pourtant booster le changement d’attitude au sein de la population, afin
qu’elle s’approprie la nouvelle vision de l’Afrique sur 50 ans. Et là,
relève-t-il, les journalistes doivent éviter auto-flagellation,l’afro-pessimisme ; et croire effectivement
en la réussite de l’Agenda 2063. Sinon, ils ne pourront pas amener le public à
l’adopter.
Le budget du Cameroun pour 2014 est connu depuis dimanche, 08 décembre dernier, jour de son adoption à l'Assemblée Nationale. Si la part réservée au ministère de l’Agriculture et du développement rural (Minader), a
connu une augmentation en évoluant de 95,5 milliards de francs Cfa en 2013 à
98,3 milliards de francs Cfa en 2014, soit une croissance de 3 milliards de
Francs Cfa, elle reste insuffisante, pour l’Union Africaine.
Il fait des envieux en se hissant au rang des top dix des ministères dont les
budgets sont les plus costauds. Pour autant, avec ses 98,3 milliards de Francs Cfa (soit
environ 3 % ) majestueusement taillés sur le budget national 2014 qui se chiffre en recettes et en dépenses à 3312 milliards de Francs Cfa, le Minader est encore loin, et très loin des
10% recommandés aux Etats Africains par l’Union Africaine. Ce, à travers le NEPAD (Nouveau
Partenariat pour la Planification et la Coordination du Développement de
l’Afrique) et son programme dénommé PDDAA (Programme Détaillé pour le
Développement de l'Agriculture en Afrique).
Les exploitations familiales nourrissent l'Afrique
Pire,
près de la moitié (exactement 41 milliards de francs Cfa) de l’enveloppe budgétaire
du Minader est consacrée au fonctionnement de cette administration en charge de
l’agriculture et du développement rural. Le reste (59 milliards) seulement va à
l’investissement. Ce qui ne signifie pas forcément le financement direct des
projets agricoles, tel que souhaité à l’Union Africaine.
On
se souvient pourtant que, lors de la signature du Pacte pour la mise en œuvre
au Cameroun du PDDAA, le 17 juillet 2013 à Yaoundé, soit dix ans après le
lancement de ce programme, les autorités camerounaises se sont engagées à
respecter les consignes de cet ambitieux programme.
En effet, reconnaissant
l’importance d’un secteur agricole puissant pour la croissance économique et la
réduction de la pauvreté, les Chefs d’États et de gouvernements de l’Union
Africaine s’étaient engagés, lors du lancement du PDDAA dans la capitale
Mozambicaine en 2003, à allouer 10% de leurs ressources budgétaires nationales
à l’agriculture à l’horizon 2008 et à relever d’au moins 6 %
leur productivité agricole chaque année. Cet engagement devait remettre les
pays africains en selle afin de réaliser le premier Objectif du millénaire pour
le développement, à savoir réduire de moitié la pauvreté et la faim d’ici 2015.
Un champ de maïs
A
ce jour, une quarantaine de pays sur les 54 que compte l’Afrique se sont
engagés dans le processus du PDDAA, et 37 seulement ont effectivement signé le
pacte du PDDAA, 28 paysont mis au point
un plan d'investissement ; 25 paysont tenu des réunionsd'affaires
sur le PDDAA. Parmi eux, moins de 10 pays ont atteint ou même dépassé le taux
minimal de 10% qu’avaient approuvé les dirigeants africains lors de la Session
Ordinaire de l’Assemblée générale de l’Union Africaine qui vit naître le PDDAA
à Maputo.
Si
certains pays comme l’Ethiopie, le Malawi, le Ghana, ou même le Kenya sont
cités en exemples parce que le budget qu’ils consacrent à l’Agriculture ne
cesse d’augmenter, atteignant parfois jusqu’à 19% comme au Malawi, 15% en
Ethiopie, 11% au Ghana, de nombreux
autres pays africains restent à la traîne, cinq ans après la date butoir de
2008. Avec ses maigres 3% de ressources budgétaires consacrées à l’agriculture,
le Cameroun est de ces pays là.
Pourtant, le PDDAA a été initié pour stimuler les réformes nécessaires au développement
durable de l’agriculture sur le continent. C’est un cadre stratégique par
excellence, qui fait de l’agriculture un moteur pour la croissance dans les
économies largement agraires de l’Afrique, avec un impact tangible et durable
sur l’amélioration de la sécurité alimentaire et la nutrition, en contribuant à
la richesse et la création d’emploi, à l’émancipation économique des femmes et
des jeunes, et en favorisant l’expansion des exportations.
Par Marie-Noëlle Guichi
En
Afrique du Sud
Les
quatre piliers du PDDAA
Lors d’un atelier des journalistes
du PDDAA les 28 et 29 novembre 2013 en Afrique du Sud, SimonKisira, en chargedu suivi et del'évaluationdu PDDAAdu NEPADa rappelé aux
participants les 4 priorités thématiques du PDDAA.
Simon Kisira durant son exposé
Pilier1 :
étendre
les superficies exploitées, à travers une gestion durable des terres, et bénéficiant de
systèmes fiables de maîtrise des eaux. L’on touche ici à l’utilisation des
ressources naturelles de base. Et l’accent est mis principalement sur la gestion
de la fertilité des sols, l’utilisation durable des terres et des eaux
agricoles, l’augmentation de la productivité, l’administration des terres et la
politique foncière.
Pilier2 :
améliorer l’accès aux marchés en renforçant les infrastructures rurales et les
autres interventions liées au commerce. Il s’agit d’insister sur les
investissements consacrés à la construction des routes, aux installations de
stockage, la transformation et la commercialisation afin de stimuler la hausse
de la productivité et améliorer la compétitivité.
Pilier3 :
augmenter l’approvisionnement alimentaire et réduire la faim dans l’ensemble de
la région en élevant la productivité des petits exploitants et en améliorant
les dispositions prises en cas d’urgence alimentaire.
Pilier4 :
améliorer la recherche et les systèmes agricoles afin de diffuser de nouvelles
technologies appropriées et dynamiser les moyens permettant d’aider les agriculteurs
à adopter ces nouvelles possibilités.
Ces
priorités sont mutuellement interdépendantes, observe SimonKisira, qui souligne qu’elles reflètent et englobent
toutes les formes de l’agriculture dans les sous-secteurs de la culture, de la
forêt, de la pêche et de l’élevage.
Pour
lui, l'Afrique ace qu'il faut pourse nourriretmême
avoir unsurplus pour les autres, puisqu’elle dispose de
40% de terres arables. Curieusement, elle est encoreen situation d'insécuritéalimentaire.
Les
journalistes, acteurs clé du développement agricole
Par Marie-Noëlle Guichi
En
Afrique du Sud
Les journalistes peuventjouer un rôle
importantpour assurer le succèsdu
PDDAA en contribuantà la responsabilité
mutuelle, a indiqué Mwanja Ng’anjo, le 28 novembre 2013, à l’ouverture de
l’atelier des journalistes du PDDAA.
Debout: de droite à gauche, Mwanja Ng'anjo (en lunettes) et Brenda Zulu
Pour MwanjaNg’anjo, le Réseau des journalistes du
PDDAA doit jouer un rôle important dans l'accroissement de la visibilité de l'agriculture en
Afrique. Une partie du travail principal dudit Réseau, dit-elle, est d’œuvrer pour l’augmentation
du volume et de la qualité des informations positives sur le rôle et l'impact
du PDDAA dans le développement agricole en Afrique.
Issus de toute l'Afrique, les
membres du réseau collaborent avec d’autres réseaux médiatiques plus larges dans leurs
pays et régions. Leur objectif dans le domaine de l'agriculture porte tout
particulièrement sur le leadership, les petits agriculteurs, les femmes et
les jeunes. Dans leur travail, les journalistes sont appelés à présenter l'histoire
africaine de développement agricole,de manière
professionnelle et consciencieuse.
Brenda Zulu, la présidente du réseau
des journalistes du PDDAA a indiqué au cours de l’atelier de formation,
organisé les 28 et 29 novembre dernier à Centurion, localité située entre
Johannesburg et Pretoria, que l’objectif de cette rencontre, est avant tout, de
permettre aux participants de mieux connaitre le rôle du PDDAA dans la stimulation
de la productivité agricole. La vingtaine de journalistes présents a ainsi
procédé à un partage d’expériences et d’enseignements communs, tout en
explorant les dernières méthodes et techniques du journalisme de développement.
Afin
d’enrichirles discussionssurle rôle des journalistesdansles questions de développementen Afrique, le Professeur Mandi Rukuni venu du
Zimbabwe, a fait un exposé surle
rôle des médiasdans l'approfondissement dela compréhension des questions de développement.
« Année de
l'agriculture »
Des journalistes du PDDAA à Centurion
A l’issu de leur rencontre, ils ont
proposé au PDDAA, un plan de communication visant à sensibiliser toutes les
parties prenantes, y compris les parlementaires, les groupes de femmes et de jeunes, les organisations paysannes, les organisations de la société civile, le secteur
privé etc.
Car l’année 2014 a été baptisée par l’Union Africaine « Année de
l'agriculture ». Le but est de faciliter une large consultation et un
dialogue permanent entre ces acteurs et les dirigeants africains, pour l’essor
de l’agriculture, gage de la prospérité du continent.
C’est dans l’après midi du jeudi 12
décembre que s’est tenue la cérémonie de clôture du Forum Africain de
l’Economie Verte et de l’Eco-Management (FAEVEM 2013).
Après
la lecture du projet de recommandations par le secrétariat général de ce forum,
s’en sont suivis des échanges et quelques amendements par l’ensemble des
participants.
Le
deuxième moment de cette cérémonie était animé par deux discours, celui d’un
participant étranger et celui du Coordonateur mondial du réseau AIDE21. Le
participant étranger, HAFIZOU BONCANA TOURE du mali, n’a pas manqué de dire
toute la joie qui animait les siens et lui-même pour l’accueil et la chaleur
des camerounais qui vont leur rester graver dans la mémoire.
Les acteurs du FAEVEM 2013 immortalisent leur rencontre
Il
a par la même occasion salué la réussite de cette toute première édition du
FAEVEM et invité à un défi au Mali en 2016. Quant à Guy Laurent KOUAM,
Coordonateur mondial du réseau AIDE21, il dira que l’organisation de ce forum n’était pas un pari
gagné d’avance.
Tout
en remerciant tous ceux qui de près ou de loin ont contribué à la réussite de
l’évènement, il n’a pas manqué de saluer particulièrement la qualité des
participants et l’efficacité de son équipe qui, depuis plus d’un an, a
travaillé d’arrache pied pour la tenue de cet évènement.
Le
dernier moment de cette cérémonie a été celui de la remise des attestations aux
participants régulièrement inscrits au forum et ayant suivi au moins quatre des
onze ateliers au programme. S’en est suivi la photo de famille. FAEVEM 2013 est
désormais entré dans l’histoire et le rendez vous pris au Mali en 2016 pour la
prochaine édition.
Par Michel TESSOH TENE Réunis au
Palais des congrès à Yaoundé depuis mardi à l’initiative du réseau AIDE21, les
jeunes africains chercheurs et porteurs de projets innovants dans le domaine
des métiers verts, ont clôturé leurs activités hier, en se donnant rendez-vous
en 2016, pour la prochaine édition qui pourrait se tenir au Mali.
Des participants à FAEVEM 2013
Des activités qui ont animé ce dernier jour de la
rencontre, l’atelier intitulé « le
tourisme durable : comment valoriser l’identité des territoires ? »
a été des plus captivants.
Le Professeur TCHINDJANG Mesmin du département de
Géographie de l’Université de Yaoundé I qui a conduit les travaux de cet
atelier, a relevé les enjeux du tourisme durable pour le développement de
l’Afrique, avant de souligner quelques limites de cette forme de tourisme.
Pour lui il y a du positif dans le tourisme quand il
offre par exemple des emplois, permet de vendre l’image d’un pays, etc. De
même, le côté négatifpeut relever de la
destruction du patrimoine culturel local et la dégradation de l’environnement.
Valoriser le
patrimoine du pays
Parlant des enjeux du tourisme durable sur l’identité
des territoires, l’universitaire a relevé qu’il s’agit de mettre un accent
particulier sur le respect de l’authenticité socioculturelle des communautés
hôtes.
Il s’agit de mettre en valeur tout le potentiel d’un
territoire tout en évitant de le détériorer. Pour lui, le tourisme durable
n’est pas une utopie, il est viable et contribue à la valorisation du
patrimoine local. Il est également pourvoyeur d’emplois.
Le panel face au public
LOBE joseph, représentant du Ministère des arts et de
la culture, qui intervenait dans le même atelier, a souligné à son tour
l’importance des arts et de la culture dans le développement d’un pays.
Répondant à la question d’un participant, il a affirmé
que « le gouvernement camerounais
mène plusieurs actions dans ce domaine. L’adoption en cette année 2013 d’une
loi sur la protection de notre patrimoine culturel, participe de cet
engagement. L’existence même d’un ministère des arts et de la culture, le
projet de construction des salles de spectacle dans les dix régions du pays, ou
encore le fait que chaque année l’Etat mette à la disposition des créateurs des
œuvres de l’esprit une somme d’un milliard de francs CFA en disent davantage ».
Il s’accorde
avec le Professeur TCHINDJANG sur le fait que la culture et les arts, tout
comme le patrimoine national en général, peut constituer un levier pour le
développement, à condition d’être valoriser en intégrant tous les acteurs.
Le Forum Africain sur l’économie
Verte et l’Eco-Management (FAEVEM 2013) s’est achevé hier sur les hauteurs du
palais des congrès à Yaoundé.
Organisé par le réseau Afrique
Internationale pour le Développement et l’Environnement au 21e
siècle (AIDE21), ce forum s'est tenu du 10 au 12 décembre
2013, conjointement avec le Salon de l’Innovation et des Métiers Verts en
Afrique.
Photo de famille à l'ouverture de FAEVEM 2013
La
cérémonie d’ouverture de ce forum, couplée auSalon de l’Innovation et des Métiers Verts en Afrique, a eu lieu dans l’une des salles du Palais des congrès. Dans son
allocution de bienvenue, Guy Laurent KOUAM, coordonnateur du réseau AIDE21 et
promoteur de ce forum a rappelé que cet évènement s’inscrit dans la continuité
des actions que mène le réseau depuis quelques années déjà, en poursuivant son
objectif de promotion des enjeux du développement durable sur le continent africain.
Il a également rappelé qu’en organisant ce forum, cette plate forme desjeunes amoureux de l’environnement a
réaffirmé sa volonté de poursuivre les débats sur la question de l’économie
verte en Afrique.
« le
forum vise à explorer les voies et moyens qui permettront de donner une
teinture verte aux divers secteurs d’activités, mais en outre, et dans un
contexte où l’offre de formation et d’emploi reste très souvent limitée, de
stimuler l’analyse et la recherche des réponses au développement des emplois
verts, dans un monde durable à faibles émissions de carbone », a
souligné le coordonnateur du réseau AIDE21.
Il a également
précisé que : « Ce forum
panafricain constitue un cadre de réflexion pour bâtir ensemble une vision
africaine d’une économie respectueuse de l’environnement. Il s’avère d’autant
plus important que l’une de ses principales activités est le salondes métiers verts et de l’innovation, dont le
but est de contribuer au développement de entrepreneuriat vert en Afrique.
C’est la promotion d’une économie qui aiderait à préserver la biodiversité, à
réduire la consommation d’énergie et à minimiser toutes les formes de
gaspillage et de pollution ».
Conférence inaugurale
Guy Laurent KOUAM,,
debout à l’extrême gauche,
le Professeur Jean Claude TCHEUWA au centre,
entouré
des autres membres du panel
Le
deuxième temps fort de cette cérémonie d’ouverture a été celui consacré à la
conférence inaugurale. Autour du thème « Croissance verte et émergence : quels enjeux, quel défi pour une
Afrique soutenable ? », le panel que conduisait le Professeur
Jean Claude TCHEUWA a frayé quelques pistes pour mieux appréhender ce que c’est
que l’économie verte et son importance pour notre continent. De la lutte contre
les pollutions aux nouvelles orientations du concept pour l’Afrique, il est
arrivé à la conclusion selon laquelle de nombreuses expériences partout dans le
monde ont démontré que les systèmes liés à l’économie verte peuvent générer
davantage d’opportunités d’emploi. Pour le Docteur FORGAP Patrick, panéliste, il
faut reconnaître que la jeunesse est porteuse d’innovation et que l’innovation
elle-même est porteuse de développement durable. Pour lui, les Etats africains doivent encourager les jeunes qui s’activent
dans les domaines promouvant le développement durable du continent. Ce qui peut
se faire par la subvention de certains projets.
Pour
l’ensemble du panel, le monde souhaité pour demain, doit être bâti maintenant, de manière solidaire et durable. « La jeunesse a l’obligation d’oser, a le
droit d’échouer, mais n’a pas le droit de ne pas essayer, de ne pas croire et
de ne pas agir », a déclaré pour conclure, le Coordonnateur de AIDE21,
Guy Laurent KOUAM, qui intervenait également dans le panel.